C’est une jument d’un élevage de Garrevaques qui a été victime de ces probables atrocités.

L’animal a été découvert hier soir ( mercredi 02 septembre ) blessé sous un œil. Il souffre de plusieurs plaies profondes, de quelques centimètres.
Evidemment, une enquête a immédiatement été ouverte au vu des nombreuses mutilations de chevaux qui ont eu lieu ces derniers jours à divers endroits en France. Des agressions d’équidés qui demeurent un mystère tant personne ne comprend le(s) mobile(s). La piste d’un rituel sataniste ou assimilé serait toutefois privilégiée.

Dans le cas du cheval de Garrevaques, la piste de l’acte volontaire semble la plus sérieuse. Toutefois, l’enquête n’a, pour l’instant, pas permis de l’accréditer.
L’autre scénario, un temps envisagé, c’est que l’animal aurait pu se blesser tout seul avec de la ferraille. Mais les gendarmes n’ont trouvé aucun objet, dans le champ, qui aurait pu blesser la jument. Même les autres chevaux ne sont pas ferrés et donc ne peuvent provoquer de telles blessures.
Les enquêteurs penchent donc nettement pour la thèse de l’agression délibérée.

La propriétaire de la jument élève une dizaine de chevaux destinés à participer à des concours de sauts d’obstacles.
Les faits pourraient remonter à la nuit de mardi à mercredi.
S’il s’agit d’une agression, c’est la première fois que de tels faits sont enregistrés dans le Tarn.
Des recherches ont été effectuées sur le site de l’élevage hier ( mercredi 02 septembre ).

Ecrire un commentaire