« Les fous rires de Castres » : encore un gros succès en vue !
Le festival de café-théâtre affiche déjà presque complet pour sa 3ème édition qui se déroulera du 25 au 28 avril au Hall Lacaune du Parc des Expositions de Castres. Et ce, depuis déjà plus de deux mois. Il faut dire que la recette, qui est un savant mélange entre du rire et de la convivialité, a tout pour attirer les foules.
Le carton des préventes
Comme nous le disions dans notre précédent article, l’évènement n’a que deux éditions derrière lui, mais celles-ci se sont à chaque fois déroulées à guichets fermés. Et c’est bien reparti pour être la même chose cette année. L’association « Castres sur scènes » qui organise le festival, a mis en place un système de préventes inspiré de spectacles en Espagne. Ce dispositif a le double intérêt de pouvoir communiquer bien en amont du festival, tout en prenant la température auprès du public. Il permet aussi aux spectateurs de pouvoir profiter d’une promotion, en l’occurrence de 10% offerts sur le prix de la place. Et il faut croire que ce pari est complètement gagnant. Les préventes des « Fous Rires de Castres » ont été ouvertes le 18 novembre dernier et… un mois plus tard, les 3 soirées traditionnelles du festival étaient déjà complètes !
La barre des 750 billets vendus (250 par soir) a donc été atteinte plus de 4 mois avant le début du festival. C’est encore mieux que l’édition précédente qui avait déjà connu des préventes très réussies. Aujourd’hui, il vous reste seulement deux options pour espérer pouvoir assister à un spectacle en avril 2024. En premier lieu, il reste encore quelques places pour la 4ème date, celle du dimanche 28 avril à 14h30. Rappelez-vous, c’est la nouveauté de cette édition, une date supplémentaire mais en après-midi, le dimanche, pour clôturer le festival. Il faut toutefois se dépêcher, il y a fort à parier que ce créneau soit lui aussi complet dans les prochains jours. Sinon, autre option, vous pouvez vous inscrire sur liste d’attente pour les autres représentations et espérer des désistements de personnes ayant pris leurs places. Dans tous les cas, ça se passe en ligne sur le site de l’association.
Des spectacles diversifiés
Au programme : 4 dates et 3 pièces. Celui qui sera joué le dimanche après-midi sera en effet le même que celui du samedi soir. Tous les shows sont actuellement encore à l’affiche dans des salles parisiennes. Certains sont mêmes joué depuis des années ! On retrouvera « Les femmes ont toujours raison, les hommes ont toujours tort » (le 25 avril à 20h), « Et pendant ce temps Simone veille » (le 26 avril à 20h) ainsi que « Le plus beau jour de ma vie » (le 27 avril à 20h et le 28 avril à 14h30). Si tous vous promettent de bons moments de rigolade, tous n’abordent pas les mêmes sujets et pas de la même manière. L’idée est de pouvoir proposer une programmation complémentaire pour les personnes qui viendraient assister au festival, chaque soir !
« Les femmes ont toujours raison, les hommes ont toujours tort » vous donnera, au travers de Julie et Lucas, toutes les astuces pour éviter les pièges de la vie de couple… et ils sont nombreux ! C’est une pièce interactive car c’est un peu le public qui est amené à choisir les sujets abordés par les acteurs. C’est le café-théâtre moderne !
Le deuxième spectacle, « Et pendant ce temps Simone veille », c’est plus de 1500 représentations déjà à son compte. Elle aborde le féminisme comme vous ne l’avez jamais vu et sans stigmatiser personne. 4 générations de femmes parleront de la condition des femmes et de son évolution… C’est un humour plus fin que celui qu’on a l’habitude de voir dans le café-théâtre, il y a du chant, de l’autodérision… la proposition est vraiment étonnante mais elle n’en est pas moins efficace.
Enfin, la dernière pièce (« Le plus beau jour de ma vie ») parlera d’un couple sur le point de se marier. Sauf que la future mariée une enfant de la DAS. Elle n’a pas de parents et elle n’ose pas le dire à son compagnon. Au moment d’envoyer les invitations, elle va décider d’engager des acteurs… et c’est le début du grand n’importe quoi. Ici, on est dans les purs codes du café-théâtre genre vaudeville, une manière idéale de clôturer « Les Fous Rires de Castres ».
