Le plus grand événement de création de jeux vidéos va se dérouler à l’Institut National Universitaire Champollion.

Premier étage du Bâtiment B exactement !
Environ 80 participants sont attendus.
Mais le GGJ qu’est-ce que c’est concrètement ? Même si vous avez compris que cela concernait l’univers des jeux vidéos, Carole Couhert, la responsable de l’innovation et de l’enseignement supérieur à la Communauté d’Agglomération de l’Albigeois, nous rappelle le concept :

Alors on pourrait se poser la question : pourquoi un tel événement a-t-il trouver écho à Albi ?
Carole Couhert nous donne sa réponse :

C’est justement le Master GAME et le Serious Game Research Lab de l’Institut National Universitaire Champollion qui est à l’origine de ce projet à Albi.
La Technopole Albi-Innoprod, la Communauté d’Agglomération de l’Albigeois, la Chambre de Commerce et d’Industrie du Tarn, La Chambre des Métiers et de l’Artisanat du Tarn, l’Ecole des Mines d’Albi, l’Université Champollion, le Lycée Rascol d’Albi, le Lycée Fonlabour d’Albi et les Compagnons du devoir du Tarn sont aussi impliqués dans l’organisation.

Le GGJ est ouvert à tout le monde. Bien évidemment les étudiants des filières en lien avec les thématiques numériques, informatiques etc… sont les premiers ciblés. Mais un passionné lambda de jeux vidéos, peut tout à fait participer et voir l’envers du décor !
Sur place, les actions à réaliser seront multiples : enregistrements sonores, graphisme, animations, codage, rédaction du scénario etc…
Côté programme du week-end Carole Couhert nous a donné les grandes lignes :

Une aventure humaine et technique à vivre en quasi huis-clos pendant 48h !
Tout est fait pour que les participants puissent rester sur place pour travailler, se restaurer, se reposer et même dormir.
Des partenaires professionnels seront aussi présents tels que Numix, Immersive Factory, Ruag Defence, Vrai Studio. Tous pourront être en soutien, en cas de blocage sur la réalisation des prototypes.
C’est aussi l’occasion pour les étudiants de transmettre leur CV ou de se faire connaître auprès des entreprises sur place. Carole Couhert nous explique que c’est un moment parfois source d’opportunités professionnelles :