Près de 70 personnes se sont amassées devant les locaux de la radio albigeoise, Boulevard Maréchal Lannes, ce matin.
Elles étaient venues soutenir un des salariés du média qui était convoqué pour un entretien préalable à un licenciement.
Il s’agit de Wilfried Croses qui est mis à pied depuis fin décembre par son employeur.
3 vigiles avaient été missionnés pour gérer, si besoin, la foule contestatrice.
C’est un épisode de plus dans la saga que nous fait vivre « Albigés » depuis plusieurs mois.
Pour rappel, un groupe d’adhérents historiques de le la radio associative dénonce, depuis le printemps dernier, une crise de gouvernance suite à l’élection d’un nouveau conseil d’administration et d’un nouveau Président (Stéphane Le Borgne).
Des changements qui ont amené des conditions de travail difficiles, un management similaire à celui du monde du privé et donc contraire à l’esprit associatif, selon certains membres actifs du média.
A tel point que deux salariés se sont mis en arrêt maladie en septembre dont l’animateur-technicien Wilfried Croses.
Prêt à aller devant la justice
L’employé aux 6 ans d’ancienneté dans la radio dénonce les arguments de son employeur qui souhaite le licencier pour faute grave. Arguments qui ne sont pas connus de notre rédaction.
Wilfried Croses sera fixé sur on avenir immédiat d’ici 3 jours.
Il a déjà prévenu que s’il était effectivement licencié, il contesterait la décision devant le Conseil des Prud’Hommes.
Dans le cas contraire, il demandera le remboursement de ses journées de mise à pied.
1 commentaire
salut,
ce genre d’action contre quelqu’un est parfaitement immonde; lâche aussi et imbécile…. si on n’est pas d’accord avec quelqu’un, on en a le droit, mais encore faut-il se comporteter proprement, honnêtement (chose qui devient des plus rares.
Si on a une once d’honneur, d’honnêteté, d’amour propre, on ne peut pas faire ni accepter dce genre de compportement. Je connais Will, il est comme tout le monde, ni plus ni moins, on a tous nos défauts autant ue nos qualités…. personne ne mérite de subir des comportement aussi odieux. En conséquence on doit défendre Will, sinon c’est qu’on n’a aucn respect pour soi-même.
amoicalement,